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Analyses,

Oreillette (Headset) en protocole wireless (sans fil).

Tout est poison, rien n'est poison, tout est fonction de la dose !
  

En ce qui concerne les oreillettes (headset) en protocole wireless (sans fils):  non seulement le lobe omnidirectionnel du téléphone mobile irradie la partie corps où il se trouve, exemples ; en pendentif,  la poche, ceinture, etc ... mais nous pouvons décerner une mention spéciale pour cette solution oreillette wireless : les utilisateurs sont irradiés deux fois ! (la solution)

En plus du portable ils ont celles de l'oreillette carrément encore plus prêt dans l'oreille externe, puis moyenne (orifice du conduit auditif), donc directement vers la boîte crânienne en suivant les nerfs vestibulaire et cochléaire... dans le cerveau !
La puissance est effectivement moindre que celle émisse par le mobile, qui rappelons-le ne doit pas être utilisé à moins de 2,1 à 2,5 cm du corps, mais pour aller chercher des ennuis supplémentaires on ne pouvait pas trouver pire ! 
La puissance des CEM diminuant environ au carré de la distance, ici tout se joue aux centimètres, voire aux millimètres, l'effet de moindre puissance par rapport au portable est en partie compensé par le raccourcissement de la distance.

La mise en place de ce type d'oreillette (headset) est révélateur de "la faillite" de notre système d'alerte de santé vis à vis des nouvelles technologies, force est de constater que la sécurité des utilisateurs/consommateurs n'est pas assurée, ils ne sont même pas informés convenablement par des campagnes nationales de prévention. Pire il y a d'autres victimes innocentes que sont les voisins de ces "phones addicts" dans les endroits confinés comme la voiture, le train, le métro, le restaurant, etc..
(ndlr: La rédaction possède des vidéos d'interviews d'utilisateurs (vigiles) décédés que nous ne diffuserons pas post mortem.)

Le dernier constat de l'autorité sanitaire de France INVS (INstitut de Veille Sanitaire) est sidérant !
Beaucoup de Français risquent fort de découvrir enfin des informations que non seulement ils ignoraient totalement, mais qu'ils étaient à milles lieux de penser sur l'augmentation exponentielle actuelle de certains types de cancers, voici le dernier
Rapport et Analyses de l'INVS sur "le top du top au hit parade" des cancers / environnement toutes catégories confondues :

N°1 au classement : Tumeurs du système nerveux central (Extrait page 9 et 10) : . . ." Le score très important de la première localisation “tumeur du système nerveux central” reflète à la fois le poids de ces tumeurs en termes de santé publique, de lien établi ou suspecté avec l’environnement et de perception sociale.
De plus aucun facteur de risque classique ne paraît impliqué dans ces tumeurs.
" . . . Phrase de lobbies ?

En ce qui concerne une autre ambiguïté sur le deuxième du classement les Poumons : L'INVS évoque le tabagisme passif : "Le score également très important de la deuxième localisation “poumon” peut paraître surprenant étant donné le poids écrasant du tabagisme dans son étiologie. Ce score reflète en particulier les interrogations et les préoccupations relatives au cancer du poumon chez la femme, dont l’incidence et la gravité augmentent. Une étude française a montré récemment que 32,3 % des cancers du poumon chez les femmes survenaient chez des non fumeuses3. La grande variété des autres agents polluant de l’atmosphère extérieure ou intérieure pouvant être impliqués - incluant bien sûr le tabagisme passif - explique aussi ce score."
Pas un mot sur les conséquences de la téléphonie passive qui est une réalité dans une zone de 2 à 3 m !

N'en déplaise à l'INVS qui n'évoque que rarement les irradiations des populations par les CEM, ou qui biaise, nous allons publier un dossier concernant les poumons (n°2 du classement) avec les interactions des irradiations sur l'activité ciliaire nocturne (en cours) avec un corollaire direct sur le pancréas.

France : Communication wireless, mesure de CEM/EMF au hasard dans la rue.