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Lampe Fluocompacte
Schéma indicatif d'un des Rayonnements ambiants
Exemple : le rayonnement Hyper Fréquence Micro-ondes


Le ballast électronique intégré est responsable des émissions rayonnées HF micro-ondes.
Il résulte des courants parasites en sortie des fortes impulsions du ballast,
celles-ci circulent dans le conducteur de terre et également dans le conducteur d'alimentation.
En raison de la fréquence élevé de ces courants
il y a évidemment un fort rayonnement électromagnétique.
Conscient du problème, les industriels ont donc placé la lampe le plus près possible du ballast électronique afin de réduire au maximum la longueur des conducteurs
les plus rayonnants en Hyperfréquences micro-ondes.
Afin que ces hyperfréquences rayonnées ne perturbent les ondes radios, courants porteurs, etc ... des filtres sont intégrés au ballast (limites d'émission : Normes EN55015 bande 9KHz à 30MHz).

Les irradiations Hyperfréquences micro-ondes sont dont bien une réalité des lampes Fluocompactes.
Contrairement à ces qui est véhiculé dans le grand public, ces rayonnements
ne s'arrêtent pas à 30 cm de la lampe, mais génèrent un lobe d'environ 3 mètres de diamètre
.
Même si la diminution des irradiations est très significative en fonction de la distance,
il est nécessaire de replacer les paramètres de cet éclairage à vocation industrielle dans un
contexte d'utilisation domestique, notamment celui de la hauteur sous plafond standard de 2,60m.

La notion de distance de l'humain par rapport à la lampe fluocompacte est un paramètre essentiel.
une personne de taille moyenne (1,68) aura lors de ses déplacements
sa boîte crânienne située à environ 80 cm de la source d'émission HF.
L'important étant le rapport dose d'irradiation par rapport au temps,
en conséquences, par exemple dans un espace cuisine :
L'irradiation sera conséquente car la postion debout est fréquente.
Pour une personne assise sur une chaise ou dans un canapé, en fonction de la distance,
pour le même temps, la dose d'irradiation reçue sera divisée par deux, voire par trois.


Les nombreux éléments métalliques présent dans une cuisine seront des facteurs aggravants.
De mêmes toutes les personnes qui portent des éléments métalliques endogènes, ou
des bijoux, des lunettes (non titanes), des baleines de soutien gorges métalliques, etc . . .
seront plus exposées à ces rayonnements électromagnétiques Hyper fréquences micro-ond
es.

- FC: PLan en élévation du l'impact sur l'humain du lobe d'irradiation Hyperfréquences -


3
la réalité des rayonnements
Hyperfréquences micro-ondes

Mesures avec sonde isotropique émission irradiations Hautes Fréquences : Distance = 0 mm (contact)
Champs ElectroMagnétiques ambiants < 0,1 V/m
A Gauche lampe Fuocompacte 20 W fonctionnement > 2 ' - A Droite lampe traditionnelle à Incandescence
ffff

 


Mesures avec sonde isotropique émission irradiations Hautes Fréquences :
Champs ElectroMagnétiques ambiants < 0,4/0,5 V/m
A Gauche 3 lampes Fuocompactes 20 W: Distance ± 10 cm - A Droite idem, mesure distance ± 120cm

ffdff

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Table des équivalences en V/m

Le Rapport complet 144 pages

- Extraits -

Page 5 :
TABLE DES MATIERES

. . . / . . .
II LES EFFETS BIOLOGIQUES ET SANITAIRES DES ULTRAVIOLETS ................... 23 II.1 M ETHODOLOGIE D ’ ANALYSE .................................................................................. 23 II.2 RAPPEL DES PRECEDENTS RAPPORTS D ’ EXPERTS ............................................... 23 II.2.1 Monographs on the Evaluation of carcinogenic risks to humans (CIRC, ...................... 23 II.2.2 Environmental Health Criteria (IPCS, 1994) ................................................................. 24 II.2.3 Risques liés à l’utilisation d’appareils de bronzage émetteurs de rayonnements ultraviolets (CSHPF, 1996).......................................................................................................................... 24 II.2.4 IARC Handbooks of Cancer Prevention (CIRC, 2001) .................................................. 25 II.2.5 Artificial tanning sunbeds – risks and guidance (OMS, 2003)........................................ 26 II.2.6 Exposition aux rayons ultraviolets A artificiels à des fins esthétiques (Académie nationale de médecine, 2003)................................................................................................................... 26 II.2.7 Soleil et Santé (Académie nationale de médecine, 2004) ............................................... 27 II.2.8 Guidelines on limits of exposure to ultraviolet radiation of wavelengths between 180 nm and 400 nm (incoherent optical radiation) (ICNIRP, 2004) ................................................... 27 II.2.9 Report on Carcinogens, 11 th Edition (National Toxicology Program, 2005).............. 27 II.2.10 Health Effects from Ultraviolet Radiation (National Radiological Protection Board, 2002) ....................................................................................................................................... 28 II.2.11 Risk of Skin Cancer and Exposure to Artificial Utraviolet Light (CIRC, en preparation) ....... 29
II.3 E FFETS BIOLOGIQUES DES UV .................................................................................. 29 II.3.1 Effets à court terme ....................................................................................................... 29 II.3.2 Effets g énotoxiques....................................................................................................... 34 II.3.3 Effets immunosuppresseurs ........................................................................................... 36 II.3.4 Vieillissement cutané photo-induit ................................................................................. 36 II.3.5 Cancers cutanés photo-induits ....................................................................................... 38 II.3.6 Relations dose/effets........................................................................................................ 44 II.3.7 Applications médicales.................................................................................................... 44 II.3.8 Luminothérapie .............................................................................................................. 46 II.4 L ES EFFETS SANITAIRES DES UV............................................................................... 46 II.4.1 Rappel des différents types de peau. Peut-on observer des spécificités françaises ?......46 II.4.2 Etudes épidémiologiques – UV naturels......................................................................... 52 II.4.3 Etudes épidémiologiques – UV artificiels ...................................................................... 66 II.4.4 Autres effets des UV ...................................................................................................... 74

Page 21
Tableau I-5 : Durée maximale des exposition aux UV, fondée sur les limites
de l'exposition de l'oeil (ICNIRP).



Page 122 et 123 (Fluocompactes, . . . ) :

VI
I.3 Autres sources à usage domestique ou industriel

A la demande du groupe d’experts, l’Afsse a saisi le Laboratoire National d’Essai afin que celui-ci procède à des mesures dans diverses configurations mettant en jeu des lampes et tubes dits « plein spectre » (ndlr: fluocompactes,...) à usage domestique ou assimilé.
En fonction des résultats, il pourra s’avérer nécessaire d’émettre certaines recommandations relatives la distribution et l’utilisation de ces lampes. Le LNE a transmis les premiers résultats de ces mesures, lesquels apparaîssent rassurants, mais ne concernent qu’un seul type de lampes. Il s’agit de lampes fluocompactes de marque . . . / . . .
Cependant, en l’absence de données concernant les autres types de lampes sur le marché et en particulier les lampes destinées initialement à un usage industriel, il convient d’envisager certaines orientations quant aux recommandations qui pourraient être proposées.

Ces sources sont destinées à être utilisées comme éclairage direct et à remplacer tubes et lampes d’usage quotidien, notamment à domicile et en milieu de travail.
Les risques qui doivent être pris en compte concernent notamment les risques ophtalmiques aigus et à long terme, les risques de photosensibilisation ainsi que les risques de cancers cutanés.

Des valeurs limites fondées sur celles qui ont été retenues pour l’exposition en milieu de travail (ACGIH) et l’ICNIRP peuvent être proposées.
Cependant, l’irradiance UV dépend de différents facteurs liés à l’utilisation de ces lampes (nombre de lampes ou de tubes, distance à la lampe, orientation,…).

Il semble utopique de tenter d’apprécier l’ensemble des configurations qui pourraient être rencontrées. Il est par conséquent nécessaire de prendre en considération certaines hypothèses, raisonnablement majorantes, afin d’apprécier les situations d’exposition auxquelles les utilisateurs de ces dispositifs pourraient être confrontés. Les paramètres qui permettent de déterminer les limites d’emploi de ces lampes sont essentiellement la distance à la source et la durée d’utilisation.
Ainsi, une durée d’exposition de 10 heures et une distance de 20 cm ont été choisies pour caractériser les risques liés à l’utilisation de ces lampes « plein spectre ». Sur la base des travaux de l’ACGIH et de l’ICNIRP, l’irradiance efficace de la source mesurée à 20 cm (distance plausible pour un éclairage de bureau) ne devrait donc pas excéder 0,8 mW/m 2. (ndlr : Table des équivalences en V/m)
Considérant de plus que ces valeurs limites ont été établies pour les travailleurs informés, un facteur de sécurité supplémentaire devrait être appliqué pour le grand public ou les professionnels non informés afin de tenir compte des personnes les plus sensibles.

Le groupe d’experts souhaite l’établissement d’un cadre réglementaire (élaboré par les ministères en charge de la santé et de la consommation) pour les sources qui dépasseraient les valeurs limites ainsi établies. Ces recommandations pourraient être émises sur la base des dispositions prévues par la directive du Conseil du 19 février 1973 11. La réglementation relative à la vente et la mise à disposition du public de certains appareils de bronzage utilisant des rayonnements ultraviolets pourrait alors être étendue à l’ensemble des sources émettant des ultraviolets mis à la disposition du public.

Lors de la vente de lampes plein spectre (ndlr: fluocompactes,...), fabriquant et distributeur devraient ainsi informer le consommateur sur les risques d’une exposition prolongée aux ultraviolets et présenter clairement les bonnes pratiques d’utilisation de leurs produits. Il semble en effet que l’usage de la plupart de ces produits soit détourné de son objectif initial (horticulture par exemple). Il devrait être interdit de présenter ce type de lampe comme pouvant présenter un effet bénéfique pour la santé et même comme pouvant être utilisé comme éclairage d’usage quotidien.

Leur utilisation dans les lieux recevant du public, en particulier dans des lieux recevant des enfants, ainsi que comme éclairage de locaux professionnels devrait par conséquent être interdite.

Bas de page 123 et fin de chapitre.


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- in progress -

 

Chine: Le traitement des DEEE, source de pollution