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Un banal accident ?
les 75 secondes

 

Londres, Enquête Diana:
un couple identifie le conducteur probable de la Fiat Uno


Avertissement :
le rayon électromagnétique en GHz représenté
en rouge

dans les reportages vidéo est en réalité totalement invisible.
Il traverse presque tout, sauf le métal.
Le temps de réaction pour un humain est instantané.

 

Version Longue
Haute Définition
Explications pour comprendre
extraits
France 3
Françis Gillery

"Diana et les fantômes de l'Alma"

Les experts et l'accident.
Interview de Marc Filterman


et

Next-up
"Les 75 secondes cruciales"


Suspendu
provisoirement

 

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Démonstration sur un plateau de télévision
d'un rayonnement électromagnétique en 95 GHz

presque le même que celui des Répéteurs Hertziens (RH) de la téléphonie mobile.

Reportage (talk show) arme non létale à énergie dirigée micro-onde 95 GHz.
Report (talk show) arms nonlethal with directed energy microwave 95 GHz.


- Réseau de Presse Voltaire -
Interview de Françis Gillery par Thierry Meyssan :

"J’ai étudié le mécanisme du mensonge d’État dans l’affaire Diana "




En complément à l'interview de notre ami Marc Filterman :
Il faut savoir qu'il est tout à fait possible d'envisager tout simplement d'irradier
(faisceau d'énergie dirigée) soit en micro-ondes MHz ou GHz le véhicule et les occupants,
ceci afin d'avoir un effet IMMEDIAT de "perte de facultés" notamment du chauffeur,
avec les conséquences que nous connaissons.
(Exemple de générateur de faisceau à énergie dirigée micro-ondes en GHz : ADS portable)

Cet acte "terroriste" est très facilement reproductible pour une reconstitution.

- Autres commentaires de Marc Filterman -

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- 2007 -
Chronologie de la nouvelle enquête -

- 8 janvier : reprise de l'enquête judiciaire britannique par la juge Elizabeth Butler-Sloss.

- 15 janvier : la juge décide de ne pas convoquer de jury pour son enquête.
Mohamed al-Fayed fait aussitôt appel.

- 2 mars: la Haute cour de Londres ordonne la présence d'un jury.

- 5 mars: la juge Elizabeth Butler-Sloss déclare ne pas disposer
de la "moindre preuve" appuyant la théorie du complot.
Mohamed Al-Fayed porte plainte à Paris contre l'ancien chef de la police de Londres,
Sir Paul Condon, et un assistant.
Il les accuse d'avoir soustrait des preuves à l'enquête française du juge Stephan.

- 24 avril: Elizabeth Butler-Sloss annonce qu'elle quittera son poste en juin,
estimant ne pas avoir assez d'expérience dans les procédures avec jury.

- 15 mai: les avocats de Mohamed Al-Fayed veulent que la reine Elizabeth
soit interrogée dans l'enquête judiciaire.

- 13 juin: le juge Scott Baker reprend l'enquête judiciaire.
C'est le troisième juge à s'occuper de l'enquête.

- 9 juillet: la reine et son époux le prince Philip ne seront pas interrogés par la justice,
annonce Scott Baker.

- 1er octobre : la Cour européenne des droits de l'Homme à Strasbourg
a déclaré irrecevable la requête formulée contre la France
par Mohamed Al-Fayed,
selon lequel l'enquête française a été mal conduite.

- 2 octobre L'enquête judiciaire s'est ouverte à la Haute Cour de Londres.
Elle pourrait durer jusqu'à six mois et
a pour but de déterminer les circonstances de l'accident.

- 8 octobre : Le juge Scott Baker, qui préside l'enquête, et les six femmes
et cinq hommes composant le jury sont arrivés à Paris pour 2 jours.

- 11 octobre : Premières dépositions des témoins,
notamment le garde du corps de Diana Trevor Rees-Jones
qui a survécu à l'accident.

- 29 octobre : Le conducteur de la Fiat Uno Blanche identifié par
Sabine et George Dauzonne (témoins sur le reportage !)
Il s'agit d'un ancien garde de sécurité vietnamien Le Van Thanh
qui est sortie du tunnel en zizagant juste avant l'accident.

- 30 octobre : La Fiat livre ses secrets,
elle a été notamment repeinte en rouge, en principe elle n'a pas été accidentée.

- 31 octobre : Nouvel élément "important",
Paris refuse d'obliger les journalistes à témoigner.
les autorités françaises ont refusé d'obliger les paparazzi à témoigner,
a indiqué le juge Scott Baker, évoquant une décision «politique»
prise au sein d'un ministère qu'il n'a pas identifié.
«Mais il semble qu'il y ait eu une modification de la position des autorités françaises,
à un très haut niveau, et il me semble que nous sommes contrôlés non pas par ce
qu'on pourrait croire ou ne pas croire être la position de la loi française
mais par ce que les Français sont effectivement prêts à faire», a ajouté le juge.

Michael Mansfield, l'avocat de Mohamed Al-Fayed,
père de Dodi Al-Fayed, le compagnon de la princesse lui aussi mort dans l'accident,
a accusé les autorités françaises de «subterfuge» et appelé le ministre britannique
de la Justice, Jack Straw, à discuter du dossier avec son homologue français.

Next-up souhaite une reconstitution réelle
dans les mêmes conditions, notamment de "déclinivité" et de vitesse,
mais avec de "faux" piliers en béton (décors).

 

 


- 2007 -
Armes à rayonnement micro-ondes :
aux choix, du non-létal au létal instantané . . .


- Le Dossier -