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Dossier : Technocentre RENAULT Guyancourt (France)

Paradoxe à " la ruche" . . .

Pour mener des études sur les interférences de champs éléctromagnétiques sur les organes éléctroniques
d'un véhicule, le Technocentre s'est doté d'une véritable cage de Faraday hébergée dans la Ruche.
Les murs, tapissés d'aluminium, permettent d'isoler un véhicule de toute influence de champ électromagnétique
.

 

Un nouveau suicide chez Renault : Le Technocentre
Renault de Guyancourt se retrouve à nouveau sur la sellette...


- Les CEM sont co-promoteurs du Stress -

Une vaste étude prouve l'évidence d’une association
entre une exposition aux champs électromagnétiques au travail
et les suicides d’employés.


Largest study finds evidence of association
between EMFs and exposed worker suicide



- La réalité des CEM au technocentre Renault de Guyancourt -
- la réalité de l'action in situ vis à vis des CEM -


 

 
 

 

Suicide au bureau

Suicides au travail
Le plan antistress de Renault


 

 

in progress

 

Technocentre : Sommet du bâtiment dit de "la ruche" avec localisation de l'antenne relais
panneau cellulaires tri-bandes, juste sous la t^éte des ingénieurs . . . !


- Technocentre : "la Ruche" avec localisation de l'antenne relais panneau cellulaires MO -


Détail de la zone de travail des ingénieurs de "la ruche",
l'antennnes relais cellulaire hyperfréquences micro-ondes est juste en-dessus !

La question aux Enquêteurs est du genre : "Qu'elle est la couleur du cheval blanc d'Henri IV !".

La réglementation concernant les zones de sécurité

- Etat d'origine façade frontale -

 

Carlos Ghosn crée une cellule chargée
d'enrayer la la vague de suicides chez Renault.




Le site de Renault secoué par une vague de suicides


Suicide d'un salarié de Renault : enquête ouverte

 

.. . .les faits, l'analyse.

Les suicides du Technocentre RENAULT de Guyancourt :

- Le STRESS, notions de bases du système endocrinien (Le Syndrome des MO).

Le constat:
- les 3 victimes travaillaient au même endroit, c'est à dire sous réserve d'investigations complémentaires pour corroborer les visuels et les témoignages . . . juste sous une antennes relais de type panneaux cellulaires mono-bande en deux fréquences hyperfréquences micro-ondes pulsées de :
- 935 MHz à 947,5 MHz.
- 890 MHz à 902,5 MHz.

- Il s'agit de savoir si les régles les plus élémentaires et réglementaires de sécurité vis à vis des irradiations en CEM micro-ondes ont été respectées.
- Rappel de la réglementation du périmètre de sécurité :
- Circulaire du 16 Octobre 2001.
- Le dossier de la zone de sécurité.
- Les éléments structurels métalliques étant un facteur aggravant.

Investigations d'enquête
:
- Des mesures physiques centimétriques et spectrales de champs in situ sont nécessaires afin de déterminer l'ensemble des valeurs, notament aux postes de travail des personnes concernées.
- Les ré-émetteurs passifs structurant étant certainement un élément aggravant.
- En sus de l'expert, du spécialiste RNI et de l'ingénieur mesures, la présence d'un ingénieur bio-structure est nécessaire pour la finalisation du rapport.

L'état des lieux, les faits :
- 12 000 personnes environ travaillent sur le site du Technocentre.
- 3éme suicide en 2 ans et demi sur ce site + deux tentatives avortées.
- Il y a eu en tout 5 suicides en deux ans et demi.

Le syndicat CGT a mentionné que "les trois victimes avaient en commun de travailler, dans "la Ruche", bâtiment principal ultra moderne du Technocentre : « Ici, nous vivons en vase clos, dans un lieu fermé, isolé, ultrasécurisé avec des caméras partout, raconte un employé. J'en connais qui ne lèvent jamais le nez de leur ordinateur ».

Le Parquet de Versailles a décidé d'ouvrir une enquête préliminaire pour vérifier les conditions de travail chez Renault au vu de la lettre laissée par le suicidé. "L'enquête entend rechercher d'éventuelles infractions (comme le harcèlement moral) liées à la mort du salarié", a précisé le Parquet.

- Le 16 février 2007 : Raymond D., 38 ans, a été découvert pendu à son domicile de Saint-Cyr-l'Ecole (Yvelines) où a été retrouvée une lettre dans laquelle il évoquait ses difficultés au travail.

- Le 24 janvier 2007 : Hervé T., 44 ans a été retrouvé inanimé dans l'étang du Technocentre de Guyancourt (Yvelines). Le commissariat de Guyancourt a conclu au suicide.

- Le malaise est vraiment né après la mort d'Antonio B., en octobre 2006.
Cet ingénieur en géométrie s'est jeté d'une coursive du bâtiment principal, au 5ème étage à 10 h du matin.
Sa chute a provoqué un écho considérable sous le toit en verre.
Et de nombreux salariés ont vu le corps en sang, le crâne éclaté.
Avant de commettre l'irréparable, cet ingénieur syndiqué avait d'ailleurs laissé en évidence sur son écran d'ordinateur le résumé de son dernier entretien avec la direction.
Renault explique que la Cnam a écarté l'hypothèse de l'accident de travail.
Mais dans un texte publié par la CGT après la mort d'Hervé T., la veuve d'Antonio B., se montre catégorique et écarte toute raison personnelle dans le geste de son mari : "Antonio a été broyé par un stress insupportable dû à son travail; il se sentait profondément dévalorisé malgré son engagement qui l'a poussé à travailler le soir, le week-end et même la nuit."

L'enquête préliminaire ouverte mardi 20 février 2007 par le parquet de Versailles, comme dans les deux précédentes affaires, éclairera probablement la justice sur les conditions de travail de Raymond D.
Par le passé, toutefois, « aucun élément ni infraction » de la part de l'employeur n'avait pu être retenu.
"les causes du suicide sont souvent plurielles", indique par ailleurs une porte- parole de RENAULT.

Après l'ouverture de l'enquête par le parquet de Versailles, la CGT réclame une expertise indépendante.