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Etude d'Essex : Analyse statistique, Dr Grahame Blackwell
Témoignage d'une participante et Commentaires de Next-up


Essex Study : Statistical Analysis, Dr Grahame Blackwell
Testimony of participating

 


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Psychologique

L'affaire du Collège Marcel Pagnol de Betz (France) est exemplaire du négationnisme
(rejet demandes ONG) et de l'incompétence de certains de la kyrielle d'intervenants.
Cette affaire aurait été résolue en 48h au lieu de 30 jours par une enquête réalisée par des spécialistes basée sur des constatations élémentaires in situ et administratives avec corrélation par mesures.

Merci aux journalistes qui ont été les seuls à informer la population
de façon objective sur l'hypothèse d'une irradiation par les Rayonnements Non-Ionisants.

Betz restera la première affaire de masse sérieusement étudiée ayant eu un impact biologique et sanitaire mais où les antennes relais de téléphonie mobile ne sont pas directement en cause !.
La population doit savoir qu'il y a maintenant pire que les antennes relais :
Les Répéteurs paraboliques Hertziens,
sur une irradiation en MHz, nous rajoutons une irradiation en GHz . . .
avec symptômes biologiques et sanitaires connus quasiment instantanés.
A Betz les autorités sanitaires recherchaient dans le collège l'origine de la source de la pollution,
alors que celle-ci se trouvait . . . à plus de 10 kilomètres du collège !.

Un rapport détaillé accusateur et accablant pour les services de l'état sera publié :
" Collège de Betz : La faute inexcusable de l'Etat." *

* " Collège de Betz : 30 jours d'irradiations. "

 


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Témoignage
Brian Stein : une victime d'Essex

Commentaires
Eileen O'Connor : Essex étude EHS


Testimony
Brian Stein : an Essex victim

Commentary
Eileen O'Connor : Essex EHS study

 

Université d'Essex "Etude EHS" : Explications et commentaires.

Les résultats d’une étude du Département de psychologie de l’Université d’Essex en Angleterre concernant le lien entre l’EHS et les rayonnements hyperfréquences micro-ondes de la téléphonie mobile viennent d’être rendues publiques.

De façon simple, cette énième nouvelle étude provocatrice pseudo-scientifique commandée et financée (500 000 £) par les Télcos (industriels des télécommunications) et . . . le Gouvernement (GB) avait pour but de déterminer si oui ou non les symptômes ressentis par les EHS étaient réels ou psychosomatiques.

Par moult stratagèmes (éthique) qui ne font pas honneurs aux psychologues, le résultat largement diffusé conclut globalement à "l’évidence" qu’il n’y a pas corrélation des symptômes ressentis (qui ne sont pas niés) avec une irradiation aux hyperfréquences micro-ondes des sources de RadioFréquences (RF).
En d’autres termes plus clairs, les symptômes ressentis dans tous les cas ne proviennent globalement pas d’une exposition aux RF et seraient comme conclusion de cette hypothèse d’ordres . . . psychosomatiques.

Les journaux, revues ou sites web pro-Télcos, ou qui publicitairement dépendent fortement des Télcos en font évidemment leurs choux gras, nous avons cherché à poster un commentaire explicatif, il est soit en général non avalisé par la modération ou supprimé dans un laps de temps très court.

Un exemple d'article en GB : Journal le "Telegraph" avec les commentaires (en traduction électronique).
(original en Anglais)

Il n’en reste pas moins que la conception même (protocole) de cette étude qui de fait ne pouvait pas être indépendante de par son financement et dont beaucoup pensaient que le résultat était évidemment connue d’avance, est en soit déjà une provocation pour les EHS, voire un scandale.

Le hic est qu’en vouloir trop l’Université d’Essex sous influence c’est non seulement décrédibilisée, mais aussi ridiculisée, car les participants ("200 cobayes") contestent et le font savoir non seulement concernant les modalités d’exécutions auxquels ils ont été soumis, mais surtout globalement sur le résultat contraire qui a été publié !

Ce n'est en définitive qu'un scandale de plus des négationnistes (tricheurs en sus) face à l'évidence . . .

 

Ceci nous interpelle fortement (probité), et un rapprochement avec la précédente fausse réplique Suisse de l'étude TNO, où les cobayes comme Ernst Meierhofer témoigne des conclusions opposées ! (en Allemand).
ARA à d'ailleurs réaliser une étude critique avec les témoignages en Français des participants.

D'autres participants ont témoigné leurs indignations face aux conclusions, notamment, une avocate, voici son témoignage :

''après le 2ème test j'ai dit à l'assistante avoir très fort réagi au 10 V/m.  Je l'ai encore répété dans le dernier formulaire.  Je me demande à présent de quelle manière on a traité mes indications.  Au vu des résultats individuels, je soupçonne même qu'elles n'ont pas été traitées du tout, ou alors dans le chapitre "réactions faibles sans relation avec les champs électromagnétiques". 
Je voudrais bien savoir comment mes appréciations d'un facteur 2 pour le champ de 10 v/m et d'un facteur 20 pour le champ de 1 v/m une semaine plus tard, ont été interprétées.  J'ai éprouvé des difficultés à répondre convenablement aux questions du formulaire.  Que ce formulaire ait été validé n'y change rien.  Il est donc très probable que des participants à l'expérience aient mal rempli leur formulaire. 
De surcroît, après avoir été soumise à 10 v/m, une personne qui n'a plus la force de réagir, ou ne peut le faire qu'en rassemblant tout son courage, ou qui se trouve dans un état second, peut difficilement dire si il ou elle se trouve indisposé(e). 
En tant qu'avocate, je suis entraînée à aller jusqu'au bout de situations, là où d'autres auraient abandonné depuis longtemps.  Lorsque j'y repense, je dois dire que j'ai bien ressenti l'exposition à 10 v/m, car ce fût comme un coup pour moi, lorsque l'antenne fut mise en route.  Mais j'ai continué l'expérience, et après 45 minutes, me trouvais si mal que je n'ai pu répondre qu'en étant en transe. 
Je n'ai naturellement plus pu réaliser que j'étais en train d'être irradiée, ni à quel point.  A ce point de vue, le questionnaire n'avait aucune valeur.  On ne pouvait répondre que par oui ou non, avec toujours les mêmes subtiles nuances.  On n'avait pas la possibilité de décrire son expérience.''

Au téléphone, l'avocate a précisé que 24 heures après son exposition à 10 v/m, elle ne fut pas en état de participer à un congrès.  Et qu'elle éprouva encore une semaine durant des difficultés à faire son travail. 

Il est tout à fait explicable que des personnes aient ressenti 1 v/m plus que 10 v/m, vu l'effet rapidement anesthésiant que l'on peut éprouver pour une trop forte irradiation.  Pour Milieuziektes.nl c'est comme si les participants étaient ivres, drogués, et n'étaient donc plus capables de ressentir ni de remplir convenablement le questionnaire.

Nous publierons l'autre volet (Judicaire) de cette fausse réplique Suisse de TNO, qui a eu des répercussions internationales.
L'Etude sur l'EHS de l'Université d'Essex ne pourrait-elle pas connaître le même cheminement ?.




Communiqué de Presse explicite de Mast Sanity


Press Release Mast Sanity


University of Essex : Letter EHS Study